© Delgado Fuchs Photo: Jérôme Bourquin
DOS qui aurait pu s'appeler « Lovebirds » ou « Los dos fantasticos » explore la nécessité du lien et fait du corps le territoire de la relation. La scène devient un ring d’observation où les deux artistes jouent avec leurs corps dissonants dans un assemblage de combinaisons décalées : Il arrive qu’ils se touchent, se caressent dans une candeur fraternelle. Ils ne parlent pas mais fredonnent une langue inarticulée.